14 juin 2014
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Une fois de plus, à partir de ce mercredi, la France va se trouver paralysée par une grève de la SNCF voulue, décidée et conduite par des syndicats politisés, soucieux d'entretenir la haine sociale en même temps que de conserver leurs privilèges, tandis que des dizaines de milliers de nos compatriotes seront pris en otages.
Dans un contexte de crise nationale, de marasme économique et d'effondrement républicain, les demi mesures ne suffisent plus.
Les entreprises doivent s'engager devant l'Etat à ne plus payer les jours de grève et à mettre en oeuvre un vrai service minimum garanti. Enfin, en cas de grève prolongée, les pouvoirs publics doivent recourir sans hésiter ni surseoir, à la réquisition.
Il est, par ailleurs, invraissemblable que tel ou tel responsable politique supposé de droite se prononce, aux cotés de la CGT, du Parti Communiste ou d' un Front National mariniste qui le dispute désrmais au Front de gauche de Mélenchon en matière d'étatisme et d'archaïsme, en faveur du rertait d'un texte qui, certes, bien timide, insuffisant et incomplet, va néanmoins dans le bon sens.
la droite a besoin de courage et de clarté. Inutile d'ajouter à la confusion.
Jean-François Touzé
Président des Nouveaux Républicains
Published by Les Nouveaux Républicains